Cherchant toujours à pousser un peu plus l’équipe dans ses retranchements, Simon cherche avant tout à se faire plaisir pour obtenir des skis audacieux, modernes et qui marchent vraiment bien.
Quand on fait un tour d’horizon dans la famille de Simon on comprend vite qu’il avait deux choix dans la vie : le ski ou le rugby. Il a fait les deux ! Cet ancien rugbyman, aujourd’hui directeur technique du rugby en Suisse, a baigné dans le ski depuis toujours jusqu’à décider à presque 30 ans de passer son Brevet d’État pour devenir moniteur.
Au fil des années, il s’est intéressé à la construction des skis et a acquis une connaissance technique pointue qui lui permettent de savoir exactement ce qui lui correspond et d’adapter ses skis aux conditions. C’est d’ailleurs comme ça qu’a démarré l’aventure Wedze pour lui.
Durant l’hiver 2018, James, chef de produit ski, s’est vu confier la lourde tâche de développer une gamme de ski freeride en partant d’une page blanche. Il avait alors en tête un article sur l’incroyable collection de ski d’Adrien Accorsini, détenteur d’un véritable musée de skis à travers lequel nous pouvons retracer l’histoire du ski freeride. Lors du premier workshop de la marque pour le développement de la gamme freeride, Adrien a demandé à Simon de venir compléter sa collection avec quelques skis spécifiques qu’il n’avait pas.
Son côté perfectionniste lui vient de son amour pour ce sport et pour les nouveautés. Lorsqu’on l’interroge sur sa vision du freeride, Simon nous répond “l’esthétisme avant tout”. Un savant mélange entre le côté sportif et l’artistique où la beauté des gestes, des mouvements et des lignes prime sur la performance. C’est comme ça qu’il envisage ses journées sur les versants alpins, avec 2 ou 3 bons copains, une belle rando ou un bout de marche pour accéder à de belles pentes, “celles qui ont de la gueule”.
Ajoutez à ça 30 cm de fraîche et du ski de 9h à 17h, et voilà comment définir la journée parfaite selon lui. Rien de très original en soi mais un combo de plus en plus rare pour les amateurs de pentes neigeuses.
Il faut dire qu’avec tous les guides de haute montagne et moniteurs de ski présent dans la famille de Simon, il était prédestiné à aimer la glisse dès son plus jeune âge. Il a commencé le freeride très tôt avec son père qui l’emmenait plus souvent en freerando que sur les pistes. Ce n’est que plus tard, à 28 ans, qu’il s’est licencié dans un ski club pour passer le monitorat et perfectionner sa technique. Il a fait un constat : “le niveau en slalom n’est pas rigolo !” donc pour passer le test technique il a dû hausser son niveau et se mettre sérieusement à passer des piquets et faire du tracé pour l’obtenir. Finalement, il aborde le ski avec son flegme légendaire, sans pression et pour le plaisir d’être sur la neige.
Après avoir longuement pensés et mis en place les lignes de la future gamme freeride, l’équipe Wedze, Adrien et Simon ont fait naître plusieurs skis, chacun voué à un freerideur différent.
Durant les tests longue durée, Simon a choisi le POW CHASER 115, son ski de prédilection lorsque la neige était souple mais qu’il ne savait pas non plus trop à quoi s’attendre. C’est un ski facile et ludique qui permet de passer partout sans être déçu.
La gamme de ski freeride est donc née de cette collaboration entre le savoir-faire et les capacités de développement de Wedze et la connaissance technique d’Adrien et Simon. Ce dernier, toujours à pousser un peu plus l’équipe dans ses retranchements, cherche avant tout à se faire plaisir pour obtenir des skis audacieux, modernes et qui marchent vraiment bien. Une technique qui visiblement fonctionne quand on voit la belle gamme de ski freeride qui est ressortie de cette collaboration !
Typiquement, Simon conseillerait le POW CHASER 115 pour un skieur qui veut commencer à avoir un ski plus large et voir ce qui se passe à côté des pistes accompagné d’un ski facile et fun. C’est d’ailleurs la promesse de ce ski au patin large (115mm) et au rockers longs qui permettent de dessiner de belles lignes dans la poudre. Pour un ski freeride le POW CHASER 115 demande un minimum de condition physique mais reste léger et peu contraignant.